Dans son ouvrage « Le Yoga, l’art de la communication », Victor S. Boïko soutient que le personnage de Virgile représente chez Dante une « voix intérieure » qui pousse l’être humain à se délivrer du joug de sa pensée et de sa conscience terrienne pour accéder à la méditation : « Virgile est un symbole, un guide intérieur, une partie de soi-même qui se cherche, mobile, capable d’apprendre dans le processus de l’action ». Cette allégorie ne s’applique-t-elle pas très bien à l’inventeur de la double écriture, le Maximus Vates ?