21.09.2018
Nous commémorons aujourd’hui le triste anniversaire de la mort de Virgile. Chacun connaît la fameuse épitaphe :
Mantua me genuit, Calabri rapuere, nunc tenet
Parthenope. Cecini pascua, rura, duces.
« Mantoue m’a donné la vie, des Calabrais me l’ont ôtée, Parthénopé désormais m’a en sa garde. J’ai chanté les pâturages, les champs, les chefs. »
Mais se pourrait-il que ce simple distique rétablisse secrètement la vérité sur la mort du poète, et même nous renseigne sur l’identité de son meurtrier ?